Pensionnat Michinosekai
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 Kaname Kyogi

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Kyogi Kaname

Kyogi Kaname


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Age : 33
Date d'inscription : 10/03/2011

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MessageSujet: Kaname Kyogi   Kaname Kyogi Icon_minitimeJeu 10 Mar - 20:36

Nom véritable : Masshiro

Nom :Kyogi

Prénom: Kaname

Surnoms : Kana ; Ama-Ô ; Tsumetai

Age:21 ans

Race: Elfe, et Elémentaliste d’Ileë. Kistune aussi, mais ça ne se voit pas.

Classe : Elémentaliste, Gardien

Description physique:
Kaname est un jeune homme très séduisant. Il mesure à peu près 1m80 et pèse 85 kg. Son corps est parfaitement dessiné, finement musclé et sa peau est très blanche. Il a un visage triangulaire, un nez en trompette et des pommettes légèrement saillantes. Il a des petits yeux en amendes d’u bleu si clair qu’il parait presque blanc. Mais n‘espérez pas trop voir cette couleur un jour, le sourire qu’il affiche constamment, combiné à ses petits yeux, fait qu’o dirait qu’il a toujours les yeux fermés. Ses oreilles pointues sont percées à plusieurs endroits et une chaînette en argent relie les deux oreilles en passant derrière le crâne. Il a des cheveux d’un blanc lumineux, en tout cas sur le dessus car plus o descend sur la longueur plus la couleur s’assombrit. La teinte varie alors du rouge sang à l’indigo. Le bord de ses yeux est légèrement rouge orangé et il a des tatouages sur une bonne partie du corps. Deux sont particulièrement visibles. Le premier barre son visage en passant au sommet de l’arrête du nez et souligne ses yeux jusqu’aux oreilles. Le second est en fait qu’un morceau de tatouage : des tribales qui remonte sur sa gorge. Le tatouage en entier est son tatouage d’élémentaliste. Il représente un renard qui grimpe sur son épaule et ses queues, actuellement au nombre de trois complètes, s’enroule autour de son corps. Une autre se forme petit à petit. En ce qui concerne son style vestimentaire, il est assez paradoxal. Il s’agit généralement d’un enchevêtrement de couches de vêtements parfois complètement asymétrique mais l’ensemble est toujours très classe.

Description du caractère:
Voilà une chose bien difficile à faire pour la bonne et simple raison que Kaname a complètement changé de caractère depuis son enfance en empruntant celui de son frère et de sa sœur. Il est donc très difficile d’affirmer que la façon dont il se comporte n’est pas qu’un rôle.
Bien, cela étant dit, pour ce rôle, il est quelqu’un de très sociable. Il parle facilement aux gens, les taquine. C’est une facette qu’il a copié sur son frère. Enfant, il était beaucoup plus timide. Mais après le drame, il s’est « ouvert » aux autres dans le sens où il va les voir…

En combat, il sera sérieux, réfléchi, comme sa sœur…mais lui…lui il ne sait probablement même pas qui il est réellement.

Il ne sait pas quoi faire de sa vie. Il est animé par un profond désir de protéger et pourtant, il reste immobile lorsqu’un ami se fait attaquer. Les attaquant ne pourront en revanche, pas s’en sortir, car une fois sortit de cette espèce de torpeur, il devient tel un démon.

Histoire de votre personnage :

Kaname a eut la chance de naître au sein d’une famille débordante d’amour. Sa mère avait pour habitude de dire qu’offrir un sourire à quelqu’un c’était comme rendre le soleil plus lumineux dans sa vie. Et Ikam en était témoin, Warai, la mère de Kaname, une élémentaliste d’Ileë avait le plus beau sourire que l’Edelen ait jamais connu. Un sourire franc, doux, chargé d’amour et de bons sentiments. Un sourire capable de créer la lumière… Quant’au père de Kana, c’était un hybride. Un Kitsune blanc, originaire de Terres du Nord.

Ils étaient des triplés et pourtant, ils étaient tous très différents. Oui, Kaname avaient un frère et une sœur.

Son petit frère, Haeru, avait hérité son aspect flagrant d’hybride du père kitsune, Dakko. Ses petites oreilles blanches et sa queue entièrement blanche elle-aussi, associées à son expression pleine de malice et sa tchatche lui avaient valut le surnom de « Tawa Kitty » ou « Taki », pour Tawamure, qui voulait dire plaisanterie et Kitty qui venait de Kitsune pour son apparence.

La sœur de Kaname, Sôdai, était d’une beauté époustouflante. Son visage était parfait, son regard profond, sa peau douce et surtout elle était vraiment très gentille et souriante. Aimable, aimante, serviable…douce, fragile mais forte, plus doué au combat que certains hommes au village, vraiment, parfaite ! Elle était donc surnommée « Kanpeki » qui voulait dire parfait.

Et Kaname, lui, avait des oreilles d’elfes, héritées de sa grand-mère paternelle, il avait des marques d’élémentalistes de couleur rouge au lieu d’être blanches, son visage était loin d’être parfait : un visage trop triangulaire, des yeux trop petits…mais malgré tout cela, il avait hérité du sourire de sa mère, descendante du clan des élémentaristes de la lumière. Ce sourire, associé à son adorable bouille enfantine avait fait qu’il était surnommé par les habitant de son petit village, à l’Est de la Terre centrale de l’Edelen, « Ama-Ô », inspiré du nom de la déesse du soleil : Amateratsu Oomikami.

La famille était gardienne du « Temple Blanc », un temple renfermant les statues sacrées de plusieurs divinités comme la déesse du soleil, la déesse de la neige ou le dieu de la glace ainsi qu’une statue de la dernière princesse Ileë…C’était une petite famille très unie. La beauté et la force de Sôdai, le sourire et le génie de Kana et l’espièglerie et la sociabilité de Haeru s’associaient parfaitement, tous les trois étaient inséparables et bien plus malins que les autres gamins de leur âges, des génies, tant pour la stratégie que pour les bêtises.

Malheureusement, malgré le climat de paix et d’amour qui régnait à l’époque, les conflits refaisaient parfois surface…certains extrémistes de la magie Kaë s’étaient mis dans la tête que tous les êtres de lumières étaient des ennemis. Pourtant, les gardiens du temple blanc et les gardiens du temple noir vivaient dans la paix et le respect…mais ces extrémistes ne pensaient pas que la magie blanche était bonne pour le monde. Et ce jour là, le Temple Blanc avait été leur cible.

Sôdai et Haeru étaient absents au début de l’attaque, partis avec leur père à la chasse, tandis que Kaname et sa mère s’occupaient de cuire les légumes. Lorsque Warai entendit quelques choses qui l’inquiéta. Elle s’approcha de la fenêtre et voyant que les ennuis semblaient vouloir leur rendre visite avec des amis armés elle prit Kaname par la main et le tira jusqu’à une petite penderie.

- « Cache-toi ici mon cœur. Et ne bouge pas. »

- « Mais, Maman ? »

- « C’est un ordre ! Quoiqu’il se passe, tu m’entends, n’importe quoi, même si ça fait peur, même si ça te mets en colère même si ça te donne envie de me détester… »

- « Je ne peux pas te détester ! »

- « Quoi qu’il se passe, tu restes là dedans et tu reste silencieux, je ne veux pas t’entendre ! c’est comprit ? »

- « Qu’est-ce qu’il se passe ? »

- « C’est bien comprit ? »

- « …Oui maman… »

Elle hocha la tête et fit entrer le garçon dans la petite penderie qui le cachait sans pour autant lui cacher entièrement ce qui se passerait dans la pièce. Avant de refermer la porte, et alors que des coups à la porte commençaient à raisonner, elle prit son visage entre ses mains et embrassa le front de Kaname.

- « Souris moi mon petit soleil, comme tu le fais si bien… »

Un peu effrayé, Kaname offrit tout de même son plus beau sourire pour rassurer sa mère qui sourit à son tour.

- « Promets-moi de toujours garder ce sourire. Ne perd pas de vu que la vie est belle. Tu garderas ce sourire, n’est-ce pas ? Tu souriras toujours ? »

- « Oui, toujours maman. »

- « C’est bien, allez, cache-toi maintenant. Et aussi, n’oublis pas que tous les mages kaë ne sont pas mauvais…souris…voilà c’est bien, je t’aime.»

Kaname se glissa donc entre les vestes d’hiver et la veste en cuir de sa mère et resta immobile.

Il vit alors sa mère aller vers la porte et ouvrir. Il vit ensuite des hommes en noirs entrer et frapper sa mère avant même de se présenter. Et un combat s’engagea. Warai était puissante, mais ils étaient nombreux. Elle fut bientôt acculée contre le placard dans lequel se trouvait Kaname, et alors qu’une seconde au paravent sa vision était teinté de noire, les seuls éclats de lumières étant cachés par le corps de sa mère, l’instant d’après, lui, fut imbibé de rouge…le rouge du sang qui coulait de splendide corps de sa mère qui glissait désormais jusqu’au sol…une lame l’avait transpercé, entrant dans l’interstice du placard, écorchant même la joue de kaname qui pourtant ne bougea pas. Il avait promis. Il sentit bientôt le bas de son pantalon s’humidifier, le sang de sa mère qui venait jusque dans le placard imbibant le tissu.

Puis, les hommes s’apprêtèrent à partir, mais avant qu’ils n’aient atteint la porte, le père de kaname, Haeru et Sôdai arrivèrent. Malheureusement pour eux, d’autres malfaisants mages de kaë attendaient dehors, et ils furent bientôt encerclés. La famille de Kaname s’horrifia de voir le corps inanimé de Warai et sans réfléchir plus, ils se lancèrent au combat. Mais les attaquants étaient trop nombreux, et Dakko était loin d’être un As du combat. Il flancha bientôt sous les coups. « Heureusement », les attaquants n’étaient pas assez cruels pour le laisser en vie pour assister à la suite, et Dakko lâcha son dernier souffle de vie en attrapant la main de sa femme. Par la suite, haeru fut frappé et Sôdai fut frappée et violée. Kaname, lui, ne bougeait toujours pas. Il n’avait pas essuyé les éclaboussures de sang qui avaient passés la barrière de lattes du placard, il n’avait pas crié en voyant son frère et sa sœur souffrir, il était juste…paralysé…il se répétait sans cesse les paroles de sa mère. Pas de bruit, pas de mouvement, garder le sourire…Et puis, les attaquants emmenèrent la fille et le kistune dans l’espoir de pouvoir les vendre au marché d’humain clandestin, la première comme un objet de plaisir, le second comme un animal domestique pour de bien cruels maîtres.

Une fois qu’ils furent loin, très loin, Kaname flancha, se retrouvant à genoux dans le sang de sa mère et de son père qui avait coulé jusque dans le placard. Il voulu ouvrir le placard mais il constata alors qu’il était coincé, bloqué par les corps sans vie de ses parents. Ikam sait quand on se rendrait compte de leur mort, le temple était excentré de la ville, et c’était la semaine des prières…une semaine où toute la famille s’éclipsait pour rendre hommage aux divinités.

Il s’assit donc, dans ce sang, puis s’allongea, gardant les yeux rivés sur les corps sans vies de ses parents, caressant comme il pouvait leur peau gelée et de plus en plus dur au fil des jours, à travers les barreaux de sa sanglante cage.

Il resta enfermé ainsi durant plus d’une semaine. Assez longtemps pour ne plus avoir la force de bouger, assez longtemps pour que l’odeur ne soit plus dérangeante…assez longtemps pour avoir perdu la notion du terme « longtemps ».

Il était donc toujours allongé dans le sang sec désormais de ses parents, prisonnier de ce placard, lorsque des sons vinrent troubler le silence du temple. Ce ne sont pourtant pas les cris des villageois inquiets qui le sortirent de sa torpeur. Il avait trop souvent eut l’impression d’entendre la voix de sa mère ou celle de son père pour prêter cas d’une quelconque voix. Non. Il ne prit conscience de sa libération proche que lorsqu’il sentit les vibrations provoquées par les pas précipités des villageois et transmis par le sol du temple.

Il se redressa lentement. Il avait largement eut le temps de réfléchir à tout ça, et depuis quelques jours déjà il se répétait sans cesse les derniers mots que sa mère lui avait adressés. Sourire ? Il avait promit n’est-ce pas ? Alors, il tiendrait sa promesse.

La porte fut ouverte. Les villageois entrèrent, s’horrifièrent de la scène puis se mirent à appeler les enfants. Kaname rassembla ses forces et appuya sur la porte du placard pour la faire bouger. Il fit cela plusieurs fois, jusqu’à ce que quelqu’un comprenne et qu’il soit délivré.


Vu la tête du villageois, il ne devait pas être beau à voir. Pas étonnant ! Son visage était à moitié couvert de sang, si sec désormais qu’il craquelait au moindre mouvement de ses muscles faciaux. Sa chevelure blanche était à moitié rouge, compacte, liée par cet immonde liquide poisseux. Il afficha un grand sourire comme il l’avait promis à sa mère. Même s’il n’avait aucune envie de sourire. Enfin, ça n’avait plus d’importance tout ça. Qu’il soit heureux ou non, qu’il ait envie de sourire ou non, en fait, tout ce qu’il ressentait n’avait plus d’importance. Il sourirait, comme promis, il comblerait le vide laissé par ses parents, son frère et sa sœur.

Il fut ramené au village, lavé et isolé « pour qu’il se repose ». Comme s’il n’avait pas été assez seul pendant cette longue semaine enfermé dans un placard d’à peine 2m².

Et il continua à sourire. Il ne versa pas une larme devant les villageois, se contenta d’afficha ce sourire. Pour n’importe qui, ce sourire était très beau, mais les villageois, sans pour autant savoir pourquoi, détestaient ce sourire. Sans être capable de distinguer la différence, ils savaient que ce n’était pas le sourire d’Ama-Ô. Et lentement, mais surement, la crainte s’infiltrait. Le petit prince blanc souriait tout le temps, en toute circonstance. Avait-il toujours un cœur ?

Depuis le drame, Kaname s’était entraîné au combat afin de surpasser sa sœur, pour combler ce vide…et il parlait plus comme le faisait son frère, parce que de toute façon il était le seul de sa famille maintenant… Les villageois ne pouvaient que reconnaître son talent pourtant la peur était de plus en plus présente et le tout éclata un soir de Mars, alors que le ciel abreuvait la Terre de son eau grise.

Des truands avaient attaqué le village et tous les villageois avaient pu assister à l’inaction de Kana. Il était là, il observait, sans bouger, son sourire plaqué aux lèvres. Il regardait. Les jeunes filles se faisaient violer, les jeunes hommes se faisaient torturer, les vieux pleuraient leurs enfants, les enfants cherchaient leurs parents, mais il ne bougeait pas.

Et puis, un villageois s’accrocha à sa jambe le suppliant d’intervenir, amenant le silence sur cette terreur. Les bandits se tournèrent alors vers Kaname.

- « C’est toi le sauveur ?! »

- « … »

- « T’as pas de langue. »

- « … »

Kaname se contenta de tirer la langue

- « T’es qui ? »

- « … »

- « Tu sais parler ? »

- « … »

- « Oh ! Tu réponds ! »

Le bandit s’approcha mais Kaname ne bougea pas. Il regarda le pilleur, le sourire aux lèvres.

Enfin « regarda » est un grand mot. Le sourire perpétuel de Kaname était tel que ses yeux semblaient fermés.

Le voleur perdit patience et lança son poing droit avec puissance vers le visage de Kaname. Le garçon se contenta de l’éviter. Il évita également le deuxième et lorsque l’homme lança un puissant coup de genoux, Kana le contra et donna ensuite un puissant coup de poing, bien plus puissant qu’un coup de poing normal d’un gamin de quatorze ans à peine.

A ce moment là, tous les voyous voulurent le frapper, mais Kana les mit tous à terre sans sourciller, toujours en souriant.

De nouveau son visage était tacheté de sang de nouveau, il avait vu la mort, la violence, la cruauté. Au petit matin, après avoir mis en terre tous les morts. Les villageois encore vivants se réunirent au centre du village pour annoncer à Kaname qu’il devait partir.

Son sourire ne s’effaça pas. Son expression ne changea pas. Il se contenta de s’exécuter, rassemblant ses affaires avant de partir, sans se retourner.

Il devint tel un vagabond. Rusé, il n’avait aucun mal à survivre, voir même à bien vivre.

Pendant toutes ces années, Kaname a voyagé a travers l’Edelen à la recherche de son frère et de sa sœur. S’il ne les a jamais retrouvé, il a en revanche pu pister ceux qui avaient tué ses parents mais ils ne sont plus là pour parler de son comportement lors du combat, si tenté qu’on puisse appeler ça un combat, plutôt qu’un massacre.

Personne ne pourrait dire si Kaname se trouvait sur le chemin de ses ennemis par coïncidence ou s’il choisissait délibérément ces chemins. Quoiqu’il en soit, des rumeurs se mirent à courir sur un être dont le physique semblait être fait de lumière et dont le cœur n’était que néant.

Il était dans une petite ville depuis quelques temps, non loin des Terres nordiques. Il avançait tranquilelment le long des allées du marché de la semaine, installé sur la grande place. Il fut bousculé par un seigneur remplit d’arrogance. Le dit noble s’arrêta et toisa le jeune homme, désormais âgé de vingt ans, du regard. Kaname se contenta de se tourner vers lui sans se défaire de son sourire habituel.

- « Un problème ? »

- « … »

- « Enlève ce sourire de ton visage ! Oserais-tu rire de moi ?! »

- « … »

- « Kana ? »

Kaname sentit un frisson traverser son échine.Il releva la tête et pour la premire fois depuis le drame son visage afficha une expression différente que ce sourire. Était-ce seulement possible ?

Le seigneur tenait une créature au bout d’une chaîne et d’un lourd collier en métal. Cette créature était de forme humanoïde, dissimulée en grande partie sous une grande cape à capuche qui laissait pourtant deviner l’existence de deux oreilles pointues. Et une queue blanche dépassait de la cape. La créature retira sa capuche et posa son regard océan sur Kaname

- « Kaname, c’est bien toi ? »

- « Taki.. »

- « Kanarrggh ! »

Le seigneur venait de frapper le kitsune.

- « La ferme ! Je ne t’ai pas autorisé à parler ! »

- « Ne le touche pas ! » cria kana

- « Oh ? tu sais donc parler ? »

Kaname serra les dents. Le seigneur attrapa le kitsune par les cheveux.

- « Tu sembles tenir à lui. »

- « Lâche-le. »

Le seigneur afficha un sourire malsain et sortit un couteau mais il n’eut pas el temps de s’en servir car la panique s’empara soudainement de la foule. Le ciel s’était assombrit. D’étranges passages s’ouvrirent et le mouvement de foule sépara le seigneur et le kitsune de Kana. Les deux frères s’appelèrent dans un cri déchirant avant d’être emporter dans deux passages différents.

Niveau: niveau 3-4 en élémentaliste.; elfe de niveau 2. Hybride de niveau 1

Pouvoirs / techniques :

Kaname a la capacité de passer inaperçu mais aussi de s'attirer la sympathie des autres grâce à son sourire.
Au combat, il est très fort à main nu mais surtout à l'épée et plus particulièrement au sabre.
il est très fort en tant qu'élémentaliste, mais l'Ileë étant la matière de la pureté, il s'est interdit de l'utiliser estimant qu'un être incapable d'aider son frère et sa soeur n'avait pas le droit d'utiliser une telle capacité.

Armes principales:

Deux katana et un arc ainsi qu'une dague

Particularités:

un sourire placardé sur son visage à longueur de temps.
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Kyogi Kaname

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MessageSujet: Re: Kaname Kyogi   Kaname Kyogi Icon_minitimeVen 11 Mar - 20:28

[validé]
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Wilwarin Elessarion

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MessageSujet: Re: Kaname Kyogi   Kaname Kyogi Icon_minitimeSam 19 Mar - 1:58

Aaaahh enfin !!!!!! depuis le temps que j'attendais :p

Bon sinon : troooooooooooop biiieeennnn !!!!!!!!!!!!!! J'adore ce perso et l'histoire est super géniale !!!!!! ^^

Bref, bienvenue Wink


(dsl de poster ça que maintenant j'ai pas trouver le temps avant)
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MessageSujet: Re: Kaname Kyogi   Kaname Kyogi Icon_minitime

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